Des principes doivent régir la manière de concevoir des villes et territoires résilients :
- Réduire massivement l’empreinte carbone, en limitant la dépendance à l’automobile et les énergie fossiles, en développant les mobilités douces, l’économie circulaire, l’agriculture urbaine de proximité, en concevant des villes actives et écologiques qui réduisent leur empreinte sur les ressources et en travaillant sur la compensation entre les territoires urbanisés et les territoires ruraux en capacité de stocker le carbone résiduel des villes.
- Renforcer la nature et la biodiversité, en développant les approches systémiques, bio-inspirées et sensibles, en végétalisant et déminéralisant massivement, en réduisant l’artificialisation des sols et recyclant et réemployant le foncier, en réduisant les risques naturels et l’effet d’îlot de chaleur, en prenant mieux en compte le cycle de l’eau, en améliorant la santé des habitants par un urbanisme qui prend mieux en compte le bien-être des êtres vivants.